AG: L’utilisation du mot « Dada » pour le mouvement
Title
AG: L’utilisation du mot « Dada » pour le mouvement
Subject
Le manifeste du mouvement Dadaïsme
Description
Le « Manifeste Dada 1918 », a été écrit par Tristan Tzara et publié en 1918. C’est un manifeste très différent parce que c’est excentrique. Ce n’est pas un appel à l’action violente et il n’y a pas de principes comme dans les manifestes des futuristes, par exemple. Cette différence est évidente dans le nom Dada. L’utilisation du mot « dada » a aidé pour décrire les idées de Tzara et était parfaite pour ce type de mouvement. Le mot « Dada » exprime l’essence du mouvement Dadaïsme par la signification de dada, selon Tzara, par les contradictions philosophique du manifeste et par les déclarations qui sont expliqués dans le manifeste.
Tzara a écrit, « Dada ne signifie rien » (67). Alors, la signification de « dada » est que dada n’a pas une signification, mais c’est un mot encore décrire un mouvement très important. Donc, parce que de cette signification, il n’y a pas une seule façon de penser dans ce mouvement. Dada peut être quelque chose formé à n’importe quoi. Tzara a écrit dans le premier paragraphe, « J’écris un manifeste et je ne veux rien, je dis pourtant certaines choses, et je suis par principe contre les manifestes, comme je suis aussi contre les principes. . . » (67). Bien que, selon le texte, Tzara est contre les manifestes, il écrit un manifeste encore. La signification et les déclarations dans le texte sont une contradiction. La définition de dada pour Tzara exprime le mouvement non traditionnel. Au début du texte, Tzara a écrit, « je suis contre l’action ; pour la continuelle contradiction pour l’affirmation aussi, je ne suis ni pour ni contre et je n’explique car je hais le bon sens » (67). Cette contradiction est un exemple de ce que c’est dada parce que c’est pour et c’est contre. C’est à la fois sérieux et pas sérieux. Il y a raison utiliser le mot dada si les contradictions sont un exemple de la signification.
Quelque autres déclarations comme « Tout ce qu’on regarde est faux » (69) et « Il n’y a pas de dernière Vérité » (69) sont exemples de la variété du Dadaïsme et comment il y a plusieurs façons de penser dans ce mouvement. Ces phrases montre aussi que le nom « dada » est le meilleure mot pour décrire le mouvement. Le premier exemple est symbolique. Il donne à l’individu la possibilité de créer sa propre réalité. Le deuxième exemple montre que les individus peuvent créer leur propre vérité. Il n’y a pas de fondation. Il n’y a pas de tradition. Le Dadaïsme est contre la tradition de la société, comme dans le dernier paragraphe – c’est une grande déclaration de dada. C’est fort et long avec une expression continue de la signification de dada, comme « Tout produit du dégoût susceptible de devenir une négation de la famille, est dada » (70) et encore, « abolition de la logique, danse des impuissants de la création : dada. . . chaque objet, tous les objets, les sentiments et les obscurités . . . abolition de la mémoire : DADA ; abolition de l’archéologie . . . des prophètes . . . du future : DADA » (70).
Les deux phrases « La logique est une complication. La logique est toujours fausse » (70) sont déclarations semblables avec celle mentionné avant. S’il n’y a pas de logique ou si la logique est fausse, donc tout est vrai dans la société. Donc, rien ne compte. Cette déclaration est un reflet du début quand Tzara écrit, « Dada ne signifie rien » (67).
Les concepts du mouvement Dada est un sujet très complexe. Le Dadaïsme est contre les traditions de la société. Le manifeste rejette et détruit les idées originales de la société ou la culture. Dada est inhabituelle parce qu’il ne signifie rien. Le « Manifeste Dada 1918 » de Tzara emploie les contradictions, la signification de dada et les déclarations expliquer le mouvement. Ce mot « dada » est un reflet du mouvement et c’est comme un symbole pour l’essence du mouvement. Les expressions dans le manifeste de Dadaïsme sont « dada ». Tzara aurait pu choisir un terme différent pour décrire ce mouvement, mais il a choisi « dada ».
Tzara a écrit, « Dada ne signifie rien » (67). Alors, la signification de « dada » est que dada n’a pas une signification, mais c’est un mot encore décrire un mouvement très important. Donc, parce que de cette signification, il n’y a pas une seule façon de penser dans ce mouvement. Dada peut être quelque chose formé à n’importe quoi. Tzara a écrit dans le premier paragraphe, « J’écris un manifeste et je ne veux rien, je dis pourtant certaines choses, et je suis par principe contre les manifestes, comme je suis aussi contre les principes. . . » (67). Bien que, selon le texte, Tzara est contre les manifestes, il écrit un manifeste encore. La signification et les déclarations dans le texte sont une contradiction. La définition de dada pour Tzara exprime le mouvement non traditionnel. Au début du texte, Tzara a écrit, « je suis contre l’action ; pour la continuelle contradiction pour l’affirmation aussi, je ne suis ni pour ni contre et je n’explique car je hais le bon sens » (67). Cette contradiction est un exemple de ce que c’est dada parce que c’est pour et c’est contre. C’est à la fois sérieux et pas sérieux. Il y a raison utiliser le mot dada si les contradictions sont un exemple de la signification.
Quelque autres déclarations comme « Tout ce qu’on regarde est faux » (69) et « Il n’y a pas de dernière Vérité » (69) sont exemples de la variété du Dadaïsme et comment il y a plusieurs façons de penser dans ce mouvement. Ces phrases montre aussi que le nom « dada » est le meilleure mot pour décrire le mouvement. Le premier exemple est symbolique. Il donne à l’individu la possibilité de créer sa propre réalité. Le deuxième exemple montre que les individus peuvent créer leur propre vérité. Il n’y a pas de fondation. Il n’y a pas de tradition. Le Dadaïsme est contre la tradition de la société, comme dans le dernier paragraphe – c’est une grande déclaration de dada. C’est fort et long avec une expression continue de la signification de dada, comme « Tout produit du dégoût susceptible de devenir une négation de la famille, est dada » (70) et encore, « abolition de la logique, danse des impuissants de la création : dada. . . chaque objet, tous les objets, les sentiments et les obscurités . . . abolition de la mémoire : DADA ; abolition de l’archéologie . . . des prophètes . . . du future : DADA » (70).
Les deux phrases « La logique est une complication. La logique est toujours fausse » (70) sont déclarations semblables avec celle mentionné avant. S’il n’y a pas de logique ou si la logique est fausse, donc tout est vrai dans la société. Donc, rien ne compte. Cette déclaration est un reflet du début quand Tzara écrit, « Dada ne signifie rien » (67).
Les concepts du mouvement Dada est un sujet très complexe. Le Dadaïsme est contre les traditions de la société. Le manifeste rejette et détruit les idées originales de la société ou la culture. Dada est inhabituelle parce qu’il ne signifie rien. Le « Manifeste Dada 1918 » de Tzara emploie les contradictions, la signification de dada et les déclarations expliquer le mouvement. Ce mot « dada » est un reflet du mouvement et c’est comme un symbole pour l’essence du mouvement. Les expressions dans le manifeste de Dadaïsme sont « dada ». Tzara aurait pu choisir un terme différent pour décrire ce mouvement, mais il a choisi « dada ».
Creator
Lisa Modigliani-Estraélla
Source
Tzara, Tristan, « Manifeste Dada 1918 » , 1918.
Date
20ème siècle
Language
Français
Collection
Citation
Lisa Modigliani-Estraélla, “AG: L’utilisation du mot « Dada » pour le mouvement,” Collections @ ECU, accessed November 25, 2024, http://collections.ecu.edu/items/show/66.
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