Les images pas typiques de l’amour dans la poésie de Paul Éluard

Title

Les images pas typiques de l’amour dans la poésie de Paul Éluard

Creator

Emma Hurlbert

Abstract

Dans son œuvre « Capitale de la douleur, » Paul Éluard commence sa carrière dans poésie avec les poèmes qui explique l’amour dans les termes bizarres et les images obscures. L’utilisation de surréalisme dans ses œuvres fait le lecteur se demande si les personnages sont réel ou part d’un monde du rêve. Je vais analyse trois poèmes de l’amour vers les descriptions pas typiques.
Dans son poème, « L’amoureuse » décrit une femme, mais dans une façon peu conventionnelle. Le premier strophe, « Elle est debout sur mes paupières Et ses cheveux sont dans les miens, Elle a la forme de mes mains, Elle a la couleur de mes yeux, Elle s’engloutit dans mon ombre Comme une pierre sur le ciel », crée l’idée que cette femme est une fantôme parce qu’elle fait les choses une vrai personne ne peut pas faire. Elle devenu la forme de ses mains, elle n’est pas solide, et elle disparaît dans son ombre, donc comme une fantôme disparaît quand le personne ne regarde pas. Ces images d’une femme sont peut-être juste une réflexion de soi-même ; les cheveux de la femme est aussi dans ses cheveux, elle réfléchie dans le couleur de ses yeux.
« La courbe de tes yeux, » peut-être décrire une personne qui est morte. L’image de l’auréole et les ailes est expliquée un ange, « Ailes couvrant le monde de lumière. » La brillance est souvent utilisée de décrire un ange. « Comme le jour dépend de l’innocence Le monde entier dépend de tes yeux purs » l’idée de pureté et l’innocence est considéré nécessaire pour gagner l’entrance dans paradis. Le sujet de ce poème semble mort, et Éluard le fait un ange parce qu’elle est pure et gentille. Aussi un image étrange est « La courbe de tes yeux » parce que c’est un angle que beaucoup des peuple ne regard pas dans ses amants. Il répète les formes ronds dans ce poème : la courbe, un rond de danse, l’auréole. Il donne le poème l’impression de douceur et d’essence de paradis.
Dans un autre livre d’Éluard, « Le Phénix », il écrit le poème « Je t’aime » dans quel il parle de femmes et l’amour qu’il ne se sent pas pour elles. « Pour l’odeur du grand large et l’odeur de pain chaud Pour la neige qui fond pour les premiers fleurs », il préfère de sentir le mer et le frais pain, et quand il regard le frais neige, il pense des fleurs de printemps. « Je t’aime pour aimer Je t’aime pour toutes les femmes que je n’aime pas » il aime ces choses et ces personnes parce qu’il n’a pas tout d’aimer vraiment. Éluard aussi utilise beaucoup de répétition dans ce poème pour exagérer son but, qu’il n’aime rien en réalité. Il juste veut de se sentir l’émotion qu‘il pense l’amour doit être (comme l’odeur du mer ou le frais pain.)
Paul Éluard utilise beaucoup des images qui semblent comme les métaphores mais dans le surréalisme, les idées confuses sont dans le même espace de réalités. Le surréalisme voit le monde vers le verre d’étrangeté. Éluard exprime ses sentiments dans un nouveau et diffèrent façon juste comment les surréalistes veut l’amour d’être, innovant et créatif.

Collection

Citation

Emma Hurlbert, “Les images pas typiques de l’amour dans la poésie de Paul Éluard,” Collections @ ECU, accessed March 19, 2024, http://collections.ecu.edu/items/show/72.

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